Jean Girel est toujours à la recherche de l’irisation du mystérieux bol chinois de la dynastie Song le « yohen temmoku ».

« Ne sortant presque jamais de l’atelier, j’ai vite pris le confinement simplement comme un moment différent à passer, un espace de liberté en dehors du monde. Je me suis alors lancé dans une activité frénétique pour réaliser tous les projets que j’avais reportés : finir d’écrire le roman qui m’encombrait la tête, reconstruire le four « jet » que j’utilisais il y a quarante ans pour mes premiers essais yohen. Les expérimentations et le cycle des cuissons ont recommencé, dans la jubilation ! »

Jean Girel is still in search of the iridescence of the mysterious Chinese bowls from the Song dynasty, the yohen temmoku.

“Hardly ever leaving my workshop, I soon understood the confinement simply as a different experience, a space of freedom away from the world. So I threw myself into my work, frenetically realizing all of the projects that I had put off : finish writing the novel that was taking up space in my head, rebuild the “jet” kiln that I used forty years ago for my first yohen attempts. The experiments and the firing cycles have begun again, with jubilation !”

Bol Les Cadoles, 2018
Grès des Cadoles, couverte de type Jian
Don M. T. K. Ngiam, 2019
© MAD, Paris / Christophe Dellière

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